Votre rôle

La maladie comme signal

Nous pensons que la pathologie est, la plupart du temps, le signal d’une disharmonie de notre façon d’être, de vivre, de nous alimenter, dans notre relation à l’autre et aux choses. Il n’y a pas de maladie sans dérèglement de la circulation vitale.

Les affections invitent à une remise en question qui implique aussi une responsabilité quant à nos rapports à nous mêmes et à notre corps, miroir grossissant de ce que nous sommes.

Cette responsabilité ne doit pas aller dans le sens d’une culpabilisation, mais dans celui d’une véritable prise en mains de soi.

Votre rôle : participation active et autonomie

Dans son application la sophrologie exige une implication totale de la part du sujet qui choisit de ne pas se limiter de s’attaquer aux symptômes.
Il s’agit de se reconnecter à son corps et de modifier la source de son déséquilibre, de son mal.

L’apprentissage intentionnel implique une attitude active, une orientation dynamique.

Votre rôle : plus vous vous impliquez dans cette tâche et plus l’apprentissage et la rétention sont importants. Plus un problème est profondément enfoui, plus sa résolution nécessitera du temps. La motivation dans l’action est indispensable pour l’efficacité et les résultats.

La participation active de la personne dans le processus de guérison augmente considérablement ses chances de succès et de durabilité des bienfaits.

La régularité des séances, la persévérance, une attitude positive et la foi dans ce que vous engagez sont les véritables piliers de votre guérison.

La répétition des exercices et leur régularité aident à maximiser les résultats pour un renforcement de l’état positif et de votre autonomie. Votre sophrologue vous conseille dans ce sens. Il vous donne la CLÉ qui va vous conduire à votre propre guérison. Il est un entraîneur, un professeur, c’est à dire que vous participez à votre guérison, que vous en êtes le premier acteur.

Par ses techniques relaxantes ou dynamisantes, la sophrologie vous apporte santé, harmonie et joie !